Le cadre juridique d’une entreprise n’est pas immuable. Il se peut que le statut que vous avez choisi au lancement de votre projet puisse être sujet à des modifications avec le temps. Ce changement se définit par les différentes procédures à entreprendre pour passer d’une structure à une autre comme l’évolution d’une entreprise individuelle vers une société par exemple, ou encore d’une SARL à une SAS. Cela peut être entrainé par diverses circonstances. Pourquoi changer de statut juridique ? Il existe plusieurs raisons qui pourraient motiver un entrepreneur à changer le statut juridique de son entreprise. Parmi elles, la plus fréquente serait le fait d’accompagner les évolutions de sa société et de bénéficier de meilleurs avantages fiscaux. Cela accroit également ses possibilités en termes d’organisation et de développement. En passant d’un EI à un EURL ou un SASU par exemple, il peut nommer une tierce personne pour le poste de gérant ou de président. Cette modification lui permet également l’ouverture d’un capital social, mais également, une alternative d’augmentation du nombre d’associés et des investisseurs. Le changement statutaire est aussi sollicité en cas de changement de siège social. En effet, pendant la création de votre entreprise, le statut précédent doit mentionner le lieu de votre siège social. La mutation est alors de mise s’il y a modification de l’emplacement en cours de vie de la société. Des entrepreneurs effectuent aussi la transition vers un autre statut juridique afin de limiter la responsabilité du chef de l’entreprise. En basculant vers un EURL ou un SASU, les patrimoines privés et personnels sont séparés. De ce fait, les créanciers ne toucheront qu’aux biens de la société en cas problèmes. La conversion vers un régime de société simplifie également la transmission de celle-ci. En effet, il est moins complexe de céder des titres sociaux que de vendre une entreprise individuelle. Il en est de même pour les héritiers qui pourront procéder par voie de transmission de titres. Comment changer le statut de son entreprise ? Pour modifier le statut juridique de votre entreprise, sachez que vous devez procéder à quelques formalités administratives : À l’instar de la création de votre société, le passage au journal des annonces légales est également indispensable pour le changement de statut. Une fois que l’accord des associés ou des actionnaires est validé sur les documents essentiels, ceux-ci feront avis de modification à insérer dans le département où se situe le siège social de la société. Cette démarche est requise dans la mesure où une des mentions obligatoires pour l’immatriculation de la société subit une modification (objet social, siège social, capital social, etc.) L’étape suivante consiste à effectuer une inscription modificative auprès du RCS (Registre du commerce et des sociétés). Le dépôt du dossier peut se faire au CFE (Centre de formalités des entreprises) ou au greffe du tribunal de commerce. Le BODACC (Bulletin Officiel des Annonces Civiles et Commerciales) réalise par la suite une publication concernant le changement de statut de votre entreprise. S’il s’agit d’un EURL ou d’un SASU, ils ne seront

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Ouvrir un commerce ne se fait pas sur un coup de tête. Il existe des démarches que vous devez entreprendre afin d’assurer la rentabilité, mais également la pérennité de votre projet. En respectant ses différentes procédures, vous pouvez être sûr de mettre toutes les chances de réussite de votre côté. Avant de se lancer Dans le secteur du commerce, détenir un diplôme peut être un atout sur de nombreux plans. On possède des compétences, mais également des bagages intellectuels appropriés à notre activité. Pour lancer son affaire, posséder un bac général, technologique ou professionnel est déjà un avantage de taille. Certains misent sur le CAP qui leur permet ensuite de suivre une formation dans des domaines spécifique. Pour compléter le parcours, on passe par le bac pro commerce. En ce qui concerne le cursus après un bac général, des possibilités sont à entrevoir comme un BTS management des unités commerciales, un BTS technico-commercial ou encore un DUT techniques et commercialisation. D’autres préfèrent s’engager directement dans une école de commerce. D’un autre côté, des futurs entrepreneurs se demandent s’il est possible de se lancer dans le domaine sans avoir de diplôme. La réponse est oui, mais à des « conditions ». En effet, il existe des métiers dont la pratique ne requiert pas forcément la détention d’un diplôme, mais des qualités que l’on n’apprend pas dans une institution. Il peut s’agir de l’ambition, du talent, mais aussi du concept d’innovation et de la créativité. Dans le secteur commercial, il est important de savoir s’adapter à toutes les situations, mais également être en mesure de gérer son temps tout en étant apte à prendre des décisions sur de nombreux plans (financier, social, marketing, etc.). N’oubliez pas que même si vous lancez votre affaire sans le moindre diplôme en poche, cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas apprendre et acquérir de nouvelles compétences en cours de route. Dans un autre contexte, vous pouvez également vous faire accompagner dans le lancement de votre commerce. Pour ce faire, vous pouvez vous approcher de certains dispositifs afin de bénéficier d’un niveau important d’informations, mais aussi de coaching dans votre aventure. On prend par exemple la NACRE (Nouvel accompagnement à la création ou à la reprise d’une entreprise) qui est accessible à différents profils d’entrepreneurs, ou encore ACctiv’Crea de Pôle Emploi. Ce dernier propose de multiples outils comme les ateliers, des échanges ou encore des réflexions communes dans le but d’accompagner les futurs entrepreneurs. Lorsque vous décidez de lancer un commerce, il est impératif d’effectuer une étude du marché. Elle contiendra obligatoirement la typologie des clients que vous comptez cibler. Posez-vous les bonnes questions concernant leur habitude de consommation, leur besoin, leur profil (jeune public, sénior, famille, sportifs, végétarien, etc.), leur revenu, mais également des interrogations sur vos concurrents. Quels sont leurs produits ? À combien ils les vendent ? À partir de cela, vous pourrez définir vos produits et vos services, mais aussi, vous serez en mesure de les adapter en fonction de la demande. Vous pourrez également déterminer

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Bâtir une entreprise à succès, c’est le rêve de tout entrepreneur. Mais encore faut-il avoir la « bonne idée » à concrétiser en projet. Vous ne savez pas par où commencer ? Voici quelques astuces et des questions à se poser qui pourraient vous aider à trouver le concept à matérialiser en une entreprise qui marche. Comment avoir une idée de business ? Tout d’abord, commencez par une phase d’introspection. C’est le meilleur moment pour vous recentrer sur vous-même et passer en mode réflexion sur vos qualités. Apprenez à vous connaitre et à vous demander ce que vous savez faire. En parallèle à cela, pensez également à ce que vous aimez faire et à vos qualités. Souvenez-vous des propos de votre entourage comme les « Tu es doué pour… », « Je te verrais bien dans… ». Ces phrases pourraient vous ouvrir la porte vers des talents que vous n’aurez probablement pas soupçonnés avoir, qu’après mûre réflexion. Imaginer une idée, c’est bien. Mais le combiner avec ses aspirations personnelles, c’est encore mieux. Vous pouvez vous inspirer de cette affirmation de Steve Jobs : « La seule façon de réussir est d’aimer ce que vous faites ». Ce propos vous conduit à réaliser vos rêves d’entrepreneuriat en adéquation avec des activités que vous aimez pratiquer. Il est important que vous soyez et à l’aise dans ce que vous envisagez d’entreprendre. Inspirez-vous de votre passion. Cela peut-être un moyen efficace. Lorsque vous associez votre passion avec ce que vous pratiquez, cela accroit considérablement votre épanouissement dans le domaine. Votre passion peut être un levier pour démarrer votre activité et peut aussi constituer un coup de fouet quand vous rencontrez des difficultés. Quand vous combinez passion et savoir-faire, vous ne pourrez aboutir qu’à de bons résultats au final. Il est nécessaire de capitaliser vos compétences pour que vous puissiez aisément identifier vos limites. Une fois que vous aurez déterminé vos faiblesses, vous pouvez facilement les appréhender, ce qui est essentiel pour lancer ou assurer la pérennité de votre entreprise. Pour avoir une idée de business, vous pouvez également partir du concept d’observation des entreprises. Repérez les tendances sur le marché ou les produits qui ont du succès auprès des consommateurs. Faites fonctionner votre esprit critique pour tourner ces produits en votre faveur comme les exploiter dans un autre secteur d’activité, améliorer les points faibles, ajuster le prix à un autre profil de clients, etc. Vous pouvez aussi vous inspirer d’un concept qui marche à l’étranger, mais faites attention à ce qu’il soit adaptable au marché que vous envisagez de le lancer. Dénicher une idée innovante peut venir lors d’une analyse intérieure de vous-même. Cependant, il peut aussi venir de l’extérieur : votre entourage. Posez des questions à vos amis, vos proches ou encore vos collègues sur les produits ou les services qui pourraient leur être utiles ou qui répondraient à leurs besoins. Organisez un brainstorming avec des gens en qui vous avez confiance. À plusieurs, c’est sûr qu’une bonne idée va être retenue. Une bonne idée de business peut également découler d’une idée déjà concrétisée

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Il existe bien d’autres alternatives au traditionnel prêt bancaire. Petit passage en revue des solutions à disposition des candidats. Trouver de l’argent pour financer un local et couvrir ses premiers besoins liés à l’installation est, à raison, la première préoccupation des créateurs. Beaucoup se tournent vers les banques classiques pour décrocher un prêt. Pas toujours facile cependant : les établissements privés sont souvent frileux face à ce type d’opérations qu’ils jugent souvent par trop risquées.Vers quelles autres solutions se tourner ? Les prêts d’honneur Leurs avantages ? Aucune garantie ni caution personnelle ne sont demandées. Et ils sont parfois délivrés sans taux d’intérêt (à 0% donc). Ce type de crédit est à solliciter auprès de certains réseaux d’accompagnement, tels qu’ Initiative France, le Réseau Entreprendre ou encore l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie). Une simple demande ne débouche pas sur un octroi automatique du prêt : un jury de professionnels sélectionne les candidats au préalable puis examine la crédibilité et le sérieux de leurs projets de création. Des entrées au capital Les entreprises innovantes à fort potentiel de développement et de croissance sont susceptibles de séduire des investisseurs privés, comme les Business Angels. Ces acteurs, qui ont souvent eux même un parcours d’entrepreneurs, cherchent à réaliser des placements dans des sociétés prometteuses. Non sans intérêt financier évidemment : ils entrent généralement au capital des entreprises et conditionnent leur participation à leur intégration dans la gouvernance de la structure. Ce positionnement leur permet de peser dans les prises de décision.D’après la Fédération nationale France Angels, ces investisseurs, qui opèrent en réseau et disposent de fonds importants (en complément d’un très intéressant carnet d’adresses) ont vocation à financer de gros investissements, de 50 000 à 700 000 euros.Dans le même registre, celui du capital-investissement, le bien nommé France Invest (ex-Afic) investit de l’argent dans des start-up, ETI et PME. On parle ici de capital-développement. Le micro-crédit Cette solution s’adresse aux petites structures qui accèdent difficilement aux financements traditionnels. Les fonds débloqués portent sur des sommes relativement modestes : 10 000 euros par exemple pour un micro-crédit accordé par l’Adie (Association pour le Droit à l’Initiative Economique). En phase démarrage, cet argent, parfois complété par des prêts d’honneur et des aides publiques, permet aux créateurs de couvrir le coût des premiers achats de matériels et l’ensemble des frais relatifs au lancement de l’activité. Et parfois aussi de consolider leur propre emploi. Autres pistes Le créateur a également la possibilité de mobiliser de l’argent auprès de son entourage (ou à trouver des associés pour accroître le capital de sa société), de candidater sur des plateformes de financement participatif (crowdfunding), voire d’intégrer des incubateurs après de grandes écoles ou des collectivités locales avec, à la clé, la mise à disposition de locaux, d’équipements et de capitaux.

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Un tel projet de ne se réduit pas une idée, aussi audacieuse soit-elle…il se mûrit d’abord très en amont et s’inscrit ensuite dans un processus long qui se construit par étape. Evaluer le potentiel de son idée L’envie part souvent d’une inspiration, d’un déclic qu’il faut, ensuite, confronter à la réalité d’un marché, d’un environnement juridique, administratif, social, comptable et fiscal, avec ses contraintes, parfois ses lourdeurs. Une idée innovante se doit d’être mesurée, étudiée afin de s’assurer de sa capacité à répondre durablement à réel besoin de la demande. En cas de doute sur l’originalité – au sens propre – de l’invention (produit ou concept), il n’est pas inutile de lui garantir une antériorité juridique au moyen d’une enveloppe Soleau déposée auprès de l’Institut National de la Propriété Industrielle (il s’agit seulement d’un outil de datation, pas d’un brevet en tant que tel qui garantit une exclusivité d’exploitation).Si l’idée est plus banale, veillez au moins à ce qu’elle se démarque suffisamment par rapport aux acteurs déjà installés sur le marché (parfois depuis très longtemps…) Identifier sa cible Sans clientèle, le dirigeant d’entreprise n’ira évidemment pas loin. A quel public compte-t-il s’adresser ? Sujet crucial qu’il faut bien sûr envisager avant de se lancer. De la nature de son activité va dépendre le positionnement de son offre : se fonde-t-elle sur un produit de niche, un service rare ou concurrentiel ? Evoluera-elle sur un marché d’équipement ou de renouvellement ? Dans tous les cas, une étude de marché doit permettre de cibler la demande, jusque dans ses caractéristiques sociologiques (tranche d’âge, sexe, catégorie socio-professionnelle…). En fonction des éléments recueillis et des quantifications réalisées, elle permettra de définir un juste prix, d’établir un premier seuil de rentabilité, d’évaluer un résulta prévisionnel (et encore fictif) et de dessiner les contours d’une stratégie marketing. Trouver des financements C’est le nerf de guerre, une première plongée dans le concret des chiffres sonnant et trébuchant . La mobilisation de fonds sous forme de capital est une condition sine qua non pour lancer une entreprise sur de bons rails. L’idéal en phase de démarrage est d’injecter un apport personnel dans l’affaire pour éviter de partir avec une charge trop lourde d’endettement. En complément de cet argent frais destinés à couvrir les premiers besoins (règlement des charges courantes, dont le loyer professionnel, et paiement des fournisseurs), des solutions de financement souples et avantageuses peuvent être sollicitées : des prêts d’honneur (à taux zéro et sans garantie) auprès d’acteurs et d’organismes tels que le Réseau Entreprendre ou Initiative France. Les demandeurs d’emploi qui ont encore des droits sociaux à liquider ont aussi la possibilité de débloquer une avance constituées par leur solde d’assurance chômage.Autre formule possible : la quête d’associés pour renforcer le capital de l’entreprise, créée en société (il s’agit d’un placement rémunéré sous forme de dividendes dont le montant est proportionnel au nombre de parts ou d’actions détenus par chacun des gérants).

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Avant de démarrer, il faut connaître l’ensemble des démarches administratives à effectuer et être au point sur les questions fiscales, comptables et juridiques. Des organismes et des interlocuteurs dédiés sont à disposition des candidats pour les « éclairer » et leur éviter de commettre des erreurs parfois très dommageables. Un actif qui cherche à se lancer dans la création d’entreprise, pour concrétiser un premier projet professionnel ou sortir d’une période de chômage, ne doit pas partir seul à « l’aventure ». Se lancer en solo nécessite souvent de trouver des financer et d’accéder à des ressources très techniques que seuls des organismes habilités sont en mesure de délivrer et d’expliciter.En matière fiscale, comptable ou juridique, il n’y pas à proprement parler de « guichet unique ». Mais un spécialiste d’une discipline en particulier saura orienter le demandeur vers d’autres interlocuteurs (des avocats par exemple). En clair, une première prise de contact en déclenche souvent une deuxième, puis une troisième et ainsi de suite. A qui s’adresser en premier ? Les chambres de commerce et d’industrie (CCI) Acteurs locaux par excellence, ces établissements publics sont des relais et une « oreille » précieux pour les chefs d’entreprise d’un territoire donné. Dans leurs établissements transitent des experts (avocats, experts comptables…), des conseillers et des entrepreneurs expérimentés mobilisés pour partager leur savoir-faire avec des débutants, parfois à travers des consultations gratuites et/ou des séances d’initiation ou d’informations. Des stages, comme les fameux « cinq jours pour entreprendre » sont par exemple proposés. BPI France Création Ex-agence France Entrepreneur, qui avait elle-même succédé à l’Agence pour la Création d’Entreprise (APCE), BPI France Création est un organe d’information destiné –comme son nom l’indique – aux candidats à l’entrepreneuriat ou aux gérants récemment installés. Précision importante : BPI France Création n’est pas un service physique. Autrement dit, il n’a pas pignon sur rue et ne propose pas de guichet ou de bureaux à proprement parler. Toutes les ressources qu’il fournit sont en ligne depuis son site internet. Il traite de nombreuses thématiques liées à l’administratifs, les statuts fiscaux et sociaux, les aides à la création d’entreprise. Avantage : il s’agit d’une source numérique fiable, régulièrement mise à jour au gré des évolutions législatives. Bien évidemment, ce outil dématérialisé ne constitue qu’une approche informative : le candidat ne doit pas s’y limiter BPI France, une banque publique d’investissement (ex- Oséo Anvar) Cette structure accompagne et finance les projets de création d’entreprise innovante. Créée en décembre 2012 dans la cadre d’une fusion entre le FSI (Fonds stratégique d’investissement), le FSI Régions, Oséo (entreprise de soutien aux PME) et la branche « Entreprises » de la Caisse des dépôts et consignations) propose des solutions de financement, dont certaines sont le fruit d’un partenariat avec des acteurs privés. Cela se traduit par des subventions, des avances remboursables ou des garanties bancaires.

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Si avant il fallait faire appel à un développeur ou tout simplement savoir coder pour créer son site, aujourd’hui, tout le monde peut le faire. C’est possible grâce aux différents logiciels de création disponibles sur le marché. Toutefois, comment faire le bon choix d’outil et quels sont les critères à prendre en compte ? Quel est le principe d’un CMS ? Ces systèmes de gestion de contenu ou CMS (Content Management System) permettent de créer des contenus, de les gérer et de les mettre en ligne. En outre, chaque modification effectuée pourra immédiatement être visible sur l’écran. Créer un site devient un jeu d’enfant car vous n’aurez pas besoin d’installer un logiciel. Qu’il s’agisse d’un site vitrine ou d’un site e-commerce, ces outils de création offrent une interface rendant leur fonctionnement facile à appréhender. Quels critères prendre en compte lors du choix de CMS ? La simplicité d’utilisation C’est sûrement l’élément le plus important à prendre en compte si vous souhaitez créer vous-même votre site web. L’outil de création devra être intuitif et facile à utiliser. Un logiciel complexe vous fera perdre du temps, or le temps c’est de l’argent. Un site web devant toujours évolué, il est important de choisir un logiciel avec lequel vous vous sentirez à l’aise lorsque vous aurez des modifications à faire. La personnalisation du site Un site web doit refléter l’image et la personnalité de l’entreprise. Dès sa première visite sur le site, un internaute doit avoir une idée du secteur d’activités, du professionnalisme et du sérieux de l’entreprise. C’est un élément qui vous permettra de vous démarquer des autres. La personnalisation du site, la modification de son apparence ou l’ajout d’image doivent se faire sans contrainte. La souplesse d’utilisation Certains logiciels nécessitent de faire appel à un prestataire pour effectuer des modifications sur le site. Pourtant, ses services seront facturés. Vous aurez alors à investir plus. Avec un logiciel souple, vous disposerez d’une autonomie totale sur les différentes fonctionnalités qu’il offre. La présentation des fonctionnalités essentielles Le contenu de l’offre et des fonctionnalités du logiciel de création doit s’adapter aux besoins de votre site et à ses objectifs. Pour un site vitrine, il est inutile d’investir dans des fonctionnalités coûteuses. Une formule de base, même gratuite, pouvant suffire. Le cas d’un site e-commerce, les éléments comme les demandes de devis sont indispensables. Pour ne pas avoir à payer plus, l’offre proposée par le CMS doit contenir l’hébergement du site, ainsi que le nom de domaine. L’architecture du site Le CMS doit fournir un site ergonomique tout en étant professionnel. L’internaute se repèrera plus facilement et saura quelles actions entreprendre pour retrouver les informations qu’il recherche. Pour faciliter l’accès au site, l’outil sera capable de le rendre responsive, c’est-à-dire adaptable à n’importe quel support multimédia. Le prix et les formules de paiement Quelle que soit la formule, en cas de non-satisfaction, vous devez être libre de vous désengager. Certains outils demandent un engagement obligatoire s’étalant sur plus d’un an, ce qui n’est pas envisageable. Vérifiez les options

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Créer son entreprise et ouvrir une boutique en ligne en 2021 sont deux processus qui ont été facilités pour le grand bonheur des web-entrepreneurs. L’attrait de ce marché tient du fait qu’il donne accès à un marché mondial. Plus de 10 milliards de clients peuvent accéder à votre boutique en ligne, pour peu que vous fassiez ce qu’il faut en matière de référencement SEO, SEA et SMO. Par conséquent, ouvrir une boutique en ligne représente une manne financière incroyable à laquelle très peu d’entreprises physiques peuvent accéder. Le web-entrepreneur devient son propre patron en 30 minutes grâce à une boutique en ligne Ouvrir une boutique en ligne en tant qu’auto-entrepreneur se fait aujourd’hui en quelques clics, car la démarche a été simplifiée. Pour commencer, il serait précoce de vous conseiller d’abandonner votre source de revenu principal. En effet, vous avez besoin de capitaux pour pouvoir investir dans les différents aspects de votre nouveau business. En clair, l’indépendance et la liberté d’accord, mais la prudence d’abord. Après la rédaction de vos statuts, l’enregistrement de votre auto-entreprise aux services des impôts et le dépôt de dossier au CFE, vous êtes sur la bonne voie pour atteindre la liberté financière dont vous avez toujours rêvé. Précisons que dorénavant, tout ceci se fait en ligne en quelques minutes. Vous pouvez ensuite vous tourner vers la meilleure solution pour vous permettre de lancer votre boutique en ligne. Il existe à cet effet des dizaines de plateformes qui hébergent à elle seule des milliers de boutiques en ligne. MyOnlineStore par exemple peut aider à créer sa boutique en ligne. Cette plateforme vous permet de designer facilement votre site d’e-commerce grâce aux nombreux templates à votre disposition mais aussi grâce à l’accompagnement des experts présents pour vous aider. Disposer de son temps et être libre de ses mouvements Quelques mois après vos débuts en tant qu’e-commerçants, vous aurez probablement fait quelques milliers d’euros. Vous pouvez dorénavant disposer de votre temps comme bon vous semble. Vous organiserez vos journées de travail avec des horaires flexibles. Vous pourrez travailler de n’importe où sur le globe sur votre boutique en ligne, de jour comme de nuit. Ce qui importe dans ces conditions, c’est que vous ayez une bonne connexion internet. Ouvrir une boutique en ligne pour accéder à un nombre illimité de clients Une boutique en ligne est une porte ouverte sur le monde. Votre e-boutique dépasse toutes les espérances d’une petite boutique de quartier. La preuve, les clients restent les mêmes lorsque vous possédez un petit magasin de quartier. Cependant, lorsque vous sautez le pas avec votre boutique en ligne, vous y accueillerez et traiterez avec de nouveaux clients d’un peu partout dans le monde tous les jours. De plus, contrairement à votre boutique physique de quartier, votre boutique en ligne reste ouverte 24 h/7. Qu’on soit en week-end, un jour férié ou de fête ou que vous dormiez, votre boutique reste fonctionnelle.

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L’entrepreneuriat séduit des personnes de tous les âges, y compris celles qui viennent de finir leurs études. Créer une entreprise permet de travailler dans un domaine qui les passionne et de rencontrer chaque mois de nouveaux clients et partenaires. Cependant, pour réussir ce projet, il est important de bien réfléchir à chaque étape et d’avoir une stratégie bien définie. Dans cet article, vous trouverez plusieurs conseils pour monter une entreprise à Ancenis, dans les Pays de la Loire. Préparer le business plan pour monter son entreprise Pendant leurs études, les étudiants commencent à réfléchir à leur carrière et analysent les options qu’ils ont à leur disposition. Est-il plus intéressant de se faire embaucher dans un grand groupe, dans une PME de sa région ou encore de monter son entreprise ? Une question qui préoccupe de nombreux étudiants, quel que soit leur bagage d’expériences. Pour se lancer dans un projet de création d’entreprise, la première démarche consiste à préparer son business plan. Pour cela, il convient choisir une spécialisation ou un domaine d’intervention. Ensuite, les entrepreneurs réfléchissent aux produits ou aux services qu’ils envisagent de lancer les premiers mois d’activité, ainsi qu’à leurs besoins de locaux, équipements et matériels. Lorsqu’il s’agit de la création d’une entreprise sur Internet, il convient réfléchir également aux outils et services nécessaires pour démarrer dans les meilleures conditions, tout en maîtrisant son budget. Toutes ces étapes aideront les entrepreneurs à définir leur budget de lancement et à vérifier leur capacité de financement. Le business plan comprend également une étude des concurrents et des produits qu’ils proposent. Cette étude est essentielle pour monter son entreprise, car elle permet d’évaluer ses chances de réussite. Si le marché reste concurrentiel, les entrepreneurs devront trouver des nouvelles idées pour se différencier et créer leur propre place sur le marché. Se faire accompagner dans son projet entrepreneurial à Ancenis Quel que soit leur bagage d’expériences dans leur domaine, de nombreux entrepreneurs sont à la recherche de réseaux professionnels et de clubs de leurs thématiques. Ceux qui envisagent de s’installer à Ancenis pour monter leur entreprise auront à leur disposition l’Espace Entreprendre. C’est une solution intéressante pour faire connaissance à d’autres professionnels et entrepreneurs du Pays d’Ancenis, afin de trouver ses futurs partenaires et clients. Grâce à l’Espace Entreprendre, les créateurs d’entreprise d’Ancenis auront la possibilité de demander des conseils auprès d’experts de la gestion d’entreprise, de la comptabilité, du marketing et d’autres domaines. De plus, ils obtiendront des renseignements complets par rapport aux démarches administratives et aux aides de la région. Financer son projet d’entreprise La plupart des professionnels qui envisagent de monter leurs entreprises ne disposent pas du budget de lancement dont ils ont besoin. Cependant, le manque de moyens financiers ne représente plus une barrière à l’entrepreneuriat, car il est possible d’obtenir différentes subventions et aides. Dans cette logique, l’Espace Entreprendre du Pays d’Ancenis met en relation les entrepreneurs avec des établissements financiers. Une étape incontournable pour trouver les aides financières les plus appropriées pour bien démarrer son projet.

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Le client est au cœur du développement et du succès de toute entreprise. Selon une étude récente, plus de 80 % des consommateurs d’ici 2021 se baseront sur l’expérience client plutôt que sur le prix pour s’offrir des prestations d’entreprises. Ceci étant dit, il est indispensable pour toute entreprise de mettre sur pieds une bonne relation client. Découvrir les 7 tendances à prendre en compte pour une relation client efficace. Les nouveaux programmes portant sur la fidélisation Offrir des cadeaux ou des bons de réductions aux clients est un excellent moyen de les fidéliser. Ils aiment recevoir des cadeaux d’entreprise. Ces cadeaux leur montrent qu’ils ont tout à gagner en s’offrant les produits et services de l’entreprise. La gestion de relation client passe aussi par ce point. C’est cette idée qui a consacré la naissance des nouveaux métiers de la relation client. On peut observer la création des postes de CXO (Chief Experience Officer) et de KAM ou “Key Account Manager” (gestionnaire de grands comptes). Les personnes qui occupent ces postes jouent un rôle très important dans l’instauration d’une bonne relation client. L’entreprise doit s’activer pour placer le client au centre de l’expérience Montrer à un client qu’il est important, qu’il a de la valeur, est très avantageux pour toute entreprise. La fidélisation est le résultat direct de cette stratégie. Il est donc indispensable de considérer le client comme la priorité en entreprise, le mettre au cœur des démarches à entreprendre. La sécurité numérique devient plus importante Le concept de sécurité numérique est très répandu et recherché. Nul ne voudrait que ses informations personnelles soient rendues accessibles aux inconnus. Les entreprises se basent désormais sur cet aspect pour proposer un meilleur management de la relation client. Deux solutions ont été trouvées pour remédier à ce danger. Il s’agit d’une part de la virtualisation des données et d’autre part de l’utilisation de l’apprentissage automatique. La virtualisation des données consiste à stocker en toute sécurité des informations ou données sensibles. L’apprentissage automatique quant à lui permet à l’entreprise de détecter toute tentative d’intrusion dans la base de donnée ou la présence de toute menace. L’investissement dans l’intelligence artificielle L’intelligence artificielle est devenue un outil incontournable de la gestion de la clientèle dans une entreprise. Il s’agit de mettre en place une assistance virtuelle qui aura pour fonction de recueillir les données de chaque client. La transformation numérique Le concept de transformation numérique suppose une digitalisation des activités en entreprise. La plupart des clients aiment entrer en contact en ligne avec les entreprises. Il est donc indispensable que les entreprises soient actives en ligne pour leur répondre rapidement au risque de les perdre. Une méthode de gestion de relation client et fidélisation. L’analyse prédictive Prédire les comportements des clients permet à l’entreprise de leur épargner toutes frustrations. Il s’agit pour l’entreprise de prendre connaissance des éventuels problèmes pouvant pousser les clients à la contacter et d’y proposer des solutions d’avance. Ce procédé permet un gain de temps important à l’entreprise d’une part et

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